Le chauffage électrique est un choix en principe à éviter, tant au niveau économique qu'écologique. Il est par ailleurs interdit en Suisse. En tout état de cause, il doit s'accompagner d'une bonne isolation thermique.
Le chauffage électrique occasionne plus de 60 % de pertes de production et de distribution tout au long du processus de fabrication de l’électricité : pour consommer 1 kWh d’électricité d'énergie finale, il faut produire environ 3 kWh d’énergie d'énergie primaire.
Le chauffage électrique engendre par ailleurs de forts appels de puissance sur le réseau, ce qui oblige à surdimensionner le réseau des lignes électriques, haute et moyenne tension.
L'argument selon lequel le chauffage électrique serait propre est dans une certaine mesure mis à mal par la problématique engendrée par les déchets nucléaires, ainsi que par les pics de consommation, qui obligent à un recours massif aux centrales thermiques (gaz, fioul, charbon) afin de répondre à l’augmentation de la demande.
Le radiateur sèche-serviette, qui peut être électrique, à eau chaude ou mixte
Le radiateur électrique à inertie, dont l'appellation est plus d'ordre marketing que technique